Henrik Pettersson, un
marginal suédois (si, si, ça existe), trouve un smartphone dans le métro. C'est
du très high tech, jamais il n'a vu ça. Ce téléphone affiche régulièrement le
même message : « Tu veux jouer ? » Est-ce le hasard ?
Henrik - dit HP – finit par craquer, clique sur « OUI », et va se
lancer dans des missions de plus en plus périlleuses. Jusqu'au jour où il
balance une pierre du haut d'un pont. Dans la voiture qui passe dessous se
trouve notamment Rebecca Normén, appartient à l’élite des gardes du corps. Elle
a vécu avec un homme violent et depuis elle se méfie. Seul compte son petit
frère car il lui a sauvé la vie.
Avec brio, l'auteur nous
entraîne dans une configuration ludique (qui rime ici avec énigmatique) de Big
Brother. Les rebondissements s’enchaînent, haletants. On connaîtra le lien qui
unit HP à Rebecca. On n’a qu'une hâte : lire la suite qui sort le 14
novembre prochain.
LIRE « Le jeu niveau 1», Anders de la Motte, éd.
Fleuve noir, 419 p., 19,90 €.
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