Il pensait qu’après Clara, il n’y en aurait plus d’autre.
Il passe « de femme-pansement en femme-pansement, jamais vraiment seul,
toujours vraiment seul. » Et puis, dans un bar où il boit trop, il
rencontre Jane. Il la revoit, elle lui confie son mot préféré :
« être ». Il va le conjuguer avec elle. C’est beau, comme ce
texto : « La nuit était belle, Antoine, animal sauvage, mon cœur est
rempli d’étoiles filantes. » Son mot préféré à lui, c’est
« funambule ». En équilibre… instable. Ses histoires ne durent pas,
même avec Jane, il tient tellement à sa sacro-sainte indépendance. Encore
quelques mois de hauts et de bas, tout devient si compliqué. Et c’est la fin,
Jane le quitte. Comme saisi par cette rupture, Antoine va créer 21 sculptures –
c’est son métier - pour une exposition intitulée « Regarder l’amour de
travers ». Et une nouvelle jeune femme, Lola, rentre dans sa vie, la vie
de « l’homme qui avait peur d’aimer. »
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« Solo », Éric Genetet, Le Verger éditeur, 136 p., 13,50 €.
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