
Mais les certitudes de notre bourreau zélé vont vaciller
une nouvelle fois dans l’immédiat après-guerre face à Ruth Ellis. Elle a certes
tué son amant, elle a été condamnée, elle doit être pendue. Mais sa vie, quelle
tragédie ! Une battante de chaque instant, prête à tout pour se sortir de
la misère. Innocente ou manipulatrice ? Dans un Londres suintant de
crasse, de pluie et de brouillard, Didier Decoin nous régale à jouer au jeu
pervers du chat et de la souris.
LIRE « La
pendue de Londres », Didier Decoin, éd. Grasset, 336 p., 18,90 €.
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