
Mais quelque chose à foiré, ô bien plus d’une seule
chose. Schlosser est convoqué par le conseil de l’ordre. Ça le ferait bien
rigoler si la tragédie, la vraie, n’avait placé ses banderilles : sa fille
aîné, Julia, 14 ans, a été violée. Par qui, bon sang, par qui ?
Après « Le dîner », Herman Koch remet le
couvert dans le registre de la comédie acide. Au menu : les compromissions
avec nos soi-disant amis, sourires par devant, envies de meurtre(s) par
derrière. Sinistre ou jubilatoire, au choix.
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« Villa avec piscine », Herman Koch, éd. Belfond, 450 p., 21 €.
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