Sombres nuages sur Nimbus, une scierie perdue loin au
bout d’une voie ferrée gauchie, au cœur d’une immense forêt-marais de cyprès
géants de Louisiane, dans les années 20. Une époque où le poison du racisme
semble aller de soi et où l’écologie n’existe pas encore.

Ce roman séduisant marqué par des pages très fortes
(notamment sur la guerre) voit se débattre des personnages charpentés ravagés
par la violence autant qu’ils ravagent la nature.
LIRE « Le
Dernier arbre », Tim Gautreaux, éd. du Seuil, 412 p., 20 €.
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