
LIRE « Lumière dans une maison
obscure », Jan Costin Wagner, éd. Jacqueline Chambon, 314 p., 22,80 €.
Voler
les voleurs, c’est le boulot d’une équipe clandestine de spécialistes (des
alarmes, de l’informatique, de la finance…), menée par Carr, ex-CIA, pour le
compte d’un puissant commanditaire. Mais détrousser les grands trafiquants et
escrocs internationaux est un jeu dangereux : deux membres du team de Carr
ont été tués dans un guet-apens. A la suite d’une trahison ? Bonjour
l’ambiance dans le groupe, lancé depuis des mois dans une combine complexe et
risquée pour dépouiller un richissime bandit de la finance…

Passionnant
de bout en bout, « A qui se fier » réserve d’excellents moments
d’action et de suspense. Mais Spiegelman a aussi su donner de l’épaisseur à ses
personnages, dont il a évité de faire des surhommes. Notamment Carr, en butte
au casse-tête de la mise au point du piège pour voler le milliardaire pourri,
mais également aux prises avec une série de difficultés personnelles. Oui, à
qui se fier ?
J.B.
LIRE « A qui se
fier », Peter Spiegelman, éd. du Seuil, 403 p., 21,80 €.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire