Pacho coule des jours
malheureux-mais-on-s’arrange en prison aux Canaries quand il sauve par hasard
la vie de Dimitri, fieffé mafieux ma foi, à la fois originaire de l’espagnole
province de Navarre et de Moscou, ville de tous les excès, Gotham City à la
sauce russe.

Une manière de
polar dessiné à la Goya, en forçant le trait de manière assumée, d’une
écriture souvent enlevée, ne manquant ni de faconde ni d’esprit, ni d’un
cynisme de bon aloi !
LIRE « Vade retro Dimitri », Juan Bas, éd. du Rouergue, 231 p., 20 €.
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